Une cicatrice peut entraîner un préjudice psychologique (témoin et rappel du traumatisme) et esthétique plus ou moins important en fonction de son aspect et de sa localisation.
Quelque soit le traumatisme qui l’a causé (plaie chirurgicale ou accidentelle, brûlures, acné, etc.), elle correspond au processus de réparation de la peau après ce traumatisme. Elle résulte d’un enchaînement complexe de réactions qui aboutit à sa formation. Une cicatrice met environ deux ans à se stabiliser. Et, jusqu’au quatrième mois, elle présente un caractère rouge et inflammatoire qui s’estompera par la suite.
Une cicatrice peut être extrêmement polymorphe (épaisse, déprimée, chéloïde, pigmentée voire tatouée, linéaire ou irrégulière, élargie ou encore multiples comme dans l’acné. Par ailleurs, du fait de leur potentiel de rétractation, certaines cicatrices peuvent entraîner une gêne fonctionnelle (brides au niveau du cou, des mains, etc.) voire même une déformation localisée de certaines zones du visage : bouche, œil, narines.
Si par définition une cicatrice est définitive et donc impossible à faire disparaître totalement, il reste néanmoins possible lorsque la cicatrice est constituée de l’estomper suffisamment pour qu’elle soit esthétiquement acceptable :
Leur traitement doit donc être adapté au cas par cas
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